Sous les ordres de Bruxelles, la France a été contrainte de vendre à perte 25% de sa production électro-nucléaire, à une fausse concurrence qui la revendait quatre fois plus cher sur le « marché ». Mais EDF n’ayant plus assez d’électricité pour satisfaire les besoins Français, a dû acheter de l’électricité sur ce « marché » quatre fois son prix. Il s’agit là donc d’un double racket: l’un sur le prix de revient et l’autre sur la contrainte de rachat au prix marché. Je serai bien curieux de connaître le nom des actionnaires de ces « concurrents », dont 80% ne produisent absolument aucune électricité. Le démantèlement d’EDF avait déjà été porté à l’ordre du jour avec le projet « hercule », heureusement repoussé ! Il s’agit pour l’Allemagne (très certainement), de faire coup double en siphonnant les ressources d’EDF pour son propre profit, tout en détruisant le seul concurrent énergétique qui pourrait s’imposer en Europe.