1968-73: le début de la fin

Certes, la France, comme tous pays, a connu diverses fortunes durant son histoire, et nourri en son sein une certaine quantité de parasites et de malhonnêtes gens. Ce qui suit est une entrée en matière, quant aux processus en œuvre et menant à la fin très probable de notre nation en tant que telle. Déstabilisations

Deux ans après le refus du Général de Gaulle de voir des bases Américaines d’installer en France, la dernière ligne droite de l’assassinat de la France, commença avec la première « révolution colorée » de l’histoire : Mai 1968 (). Les groupes intérêts, les activistes, les cinéastes, les médias et autres « intellectuels » pro-Anglo-saxons, les libertariens, les anarcho-trotskystes, les Pro-sionistes, et surtout les corrompus et traîtres de l' »anti-France », convergèrent alors, tels des chacals sur une proie blessée.

Financiarisation généralisée

Sur le plan de la finance internationale, on se souviendra du Président Richard Nixon, en 1971-1973, qui décréta la cessation de la parité Dollar-Or. Ainsi, le Dollar devenait une « monnaie de singe », cotée par les faussaires eux-même, mais restant crédible au plan mondial grâce au règlement du pétrole exclusivement dans cette devise, privilège qu’ils ont obtenu avec la complicité de l’Angleterre. Monnaie de singe, donc, mais devenue mondiale et incontournable dans les échanges commerciaux depuis lors. Ceci qui leur servira plus tard, de prétexte, pour étendre leur propre législation et juridiction, au monde entier , faisant ainsi œuvre de chantage et de banditisme international, en contraignant ses alliés et en ruinant ceux qui leur résistent.

De notre côté, infiltrés par des agents et intérêts extérieurs, le Président Pompidou et son ministre des finances: Valéry Giscard d’Estaing, mirent en œuvre la loi du 3 Janvier 1973, dont l’aspect principal consistait à contraindre l’état à emprunter auprès « des marchés internationaux », et donc, auprès de la « finance apatride », plutôt qu’à son propre peuple. Ceci fut le départ d’un « endettement » indu de la France, et levier d’action de forces ennemies.

La « 6ème république »

Ainsi donc, après le « hold-up » mondial des pétrodollars, la « 6ème République Française », naissait sans un cri, et sans publicité, dans les salon feutrés d’une oligarchie Franco-apatride, dont la cupidité n’avait d’égal que leur totale immoralité.

Ce régime fut mis en œuvre par une galaxie de « grands serviteurs de l’état » sans honneur et à l’égo démesuré, et politiciens, préparés dès l’après guerre, en générations successives, et financés ou corrompus de l’extérieur.

Ce régime fut relayé par des médias dont cette petite « élite » s’est rendue progressivement maîtresse, non par influence, mais par rachat pur et simple, les.transformation en outils de propagande, au sein desquels les animateurs, jadis journalistes et lettrés, ont été remplacés par des militants ou « procureurs de la pensée ».

Ce régime fut assistée par une pléiade d’associations dites « sociétales », dont l’objectif consistait à détruire les opinions individuelles et divergentes, pour les ramener vers une attitude « politiquement correcte » souhaité par les dirigeants.

Ce régime fut épaulé par une éducation nationale qui « éduqua socialement » tout en évitant, soigneusement d’instruire et d’apprendre à penser. Les instituteurs et professeurs étant préalablement « cooptés » par des activistes gauchisants et « laïcards ».

Ce régime fut pérennisé par un piège politique subtil, et artificiellement conçu. Celui du clivage gauche-droite, et dont les idéologies jadis bien marquées, sont aujourd’hui quasi-identiques. Ce contexte placera ainsi les Français devant un « non-choix » permanent, d’autant plus que ce piège fut renforcé par la diabolisation d’une « extrême droite » qui n’a jamais existé en tant que telle dans notre pays.

Ce régime soumis le pays à pléthore d’institutions internationales et à l’UE en particulier (Une entité sans réel fondement juridico-populaire, et sans démocratie interne: Désignation, élections « sur listes », Etc ..)

Enfin, ce régime fut servi par une justice « contrôlée » et infiltrée par des activistes « trotskyste », de manière à ce qu’elle punisse sévèrement le peuple de souche, tout en exonérant les puissants (leurs commanditaires), et se montrant d’une bienveillance quasi-criminelle envers des cultures allogènes agressives et/ou décidées à ne pas s’intégrer dans la communauté nationale. Une justice comprenant mieux le criminel qu’elle n’assiste les victimes….et particulièrement si ces dernières sont blanches et/ou Chrétiennes. Nous nous rappellerons la fameuse « Discrimination positive » de Nicolas Sarkozy !

Des objectifs « sombres »

Un plan diabolique s’est ainsi progressivement mis en place, avec le consentement « arraché » au peuple, de la manière la plus silencieuse et sournoise qui soit, et toujours sur de faux prétextes de « liberté », d' »égalité », de « justice ».

La 5ème République a été lentement travestie, dès la mort du général de Gaulle, par petites touches sournoises, avec l’appui d’intérêts étrangers, lesquels ayant corrompu et formé une petite « élite » avide, sans morale, œuvrant vers de sombres objectifs tels que :

• Détruire le programme social et politique mis en place par le conseil national de la Résistance,
• Privatiser tout ce qui peut l’être, en infiltrant puis se servant des pouvoirs conférés par l’état, ce dernier devant être par la suite démantelé,
• Détruire les notions même de patrie, de culture, de traditions, et de fierté nationale au sein du peuple, au profit d’un libertarisme amoral, cupide et apatride. Détruire la fierté nationale, par la culture de la « repentance » et de l’autoflagellation, afin d’accélérer la « digestion » de la nation par des entités supranationales, voire par ce « nouvel ordre mondial ».
• Recréer un peuple constitué de gens peu éduqués et dociles . Un peuple composé d’individus métissés, à l’apparence uniforme, sans racines culturelles, parfaitement interchangeables, disposant d’une d’éducation minimaliste, dépourvus de « conscience inutile », individualiste et matérialistes. Peuple réuni autour d’un nouveau « roman national », sans passé et sans valeurs, après la destruction de la véritable histoire de France !
• Donner l’illusion de la démocratie, tout en en contrôlant tous ses rouages, y compris sa propre opposition. Pervertir les institutions à un point tel, qu’elles en arrivent, pour « survivre », à faire le contraire de ce qui fut leurs missions d’origine. …
• Placer la France au sein d’institutions supranationales, afin de tuer progressivement son indépendance et son auto-suffisance, tout en l’asservissant à divers intérêts étrangers.
• Abêtir les masses par la dictature du « du sexe, du loisir et du désir immédiat »,
• Naturalisation de masse probable, afin de « créer » le « nouvel électorat », qui en viendra a expulser de ses terres, le peuple de souche du pays.

Aujourd’hui, nous constatons :

• une république de « copains et de coquins ». Une république où un casier judiciaire vierge ne vous permet pas d’accéder à de hautes responsabilités.
• Une république où le racisme s’applique à tous sauf aux « blancs », lesquels seraient coupables éternellement de tous les racismes et autres esclavagismes du monde… Sans compter l’antichristiannisme dont la « laïcité » cache mal la volonté d’athéisme.
• Une république où l’on peut voir un président « se frotter physiquement » à de jeunes métisses, tient le chanteur homosexuel Elton John par la main, insulte son peuple depuis l’étranger, en considérant qu' »il n’y a pas de culture Française », ou encore que « le colonialisme Français est un crime contre l’humanité » … entre autres vexations pour notre pays ?
• Une république où une majorité à l’assemblée devient totalement inféodée à un pouvoir dictatorial qui les y ont placé, devenant ainsi une extension du pouvoir exécutif, danc bafouant la séparation des pouvoirs.
• Une république où les «réseaux » priment sur les compétences
• Une république où la police ne défend plus le peuple, mais le pouvoir en place, et va même jusqu’à viser délibérément les yeux de gens désarmés ! (les blancs uniquement) .. aucun noir, musulman, ou Juif, n’a eu d’œil crevé !
• Une république où les juges interprètent les lois au gré des humeurs sociétales, partisanes, et prononcent souvent des jugements iniques, bienveillant envers les criminels et immigrés, mais très durs lorsqu’il s’agit de « Blancs Chrétiens Européens ».
• Une république des actionnaires contre celle des travailleurs pauvres,
• Une « Union Européenne », véritable « syndicat du crime populaire », permet à sa banque centrale d’émettre de la fausse monnaie à destination exclusive du « casino financier » et de ses actionnaires, sans que jamais rien ne ruisselle dans l’économie réelle. Une UE qui conditionne des aides financières à des mesures spoliatrices et vexatoires des peuples.
• Une république littéralement livrée au pillage, à la délocalisation, et à la « vente à la découpe » par des « hauts-fonctionnaires » trahissant leur propre natiion !
• Une pseudo-écologie dont l’objectif final ne sera pas de sauver collectivement la planète, mais de la sauver pour une petite élite ioligarchique qui attribuer des « crédits carbone » (ou droits de polluer), à ses congénères et aux citoyens dociles de la future tyrannie. Les réfractaires et les pauvres étant condamnés à la rusticité et la misère.

Cette liste d’objectifs, non exhaustive, au service d’un régime Oligarchico-mafieuse, ayant confisqué le pouvoir, et tentant de « remplacer » ce peuple historique, par un nouveau peuple plus « docile » (qu’ils croient !) en maquillant cela en « migration humanitaire » ou en « guerres humanitaires » .. etc..

C’est ainsi qu’il nous faudra à terme aboutir à un autre système, mis à l’abri des clans d’intérêts, concentrant le pouvoir concernant les missions régaliennes, mais laissant les régions et communes libres et autonomes quant à leurs intérêts locaux. Ce changement de régime ne pourra en aucun cas être accompli pacifiquement, ces imposteurs n’ayant aucun întérêt à restituer le pouvoir et les richesses qu’ils ont usurpés !