Immigration souhaitée et assimilation désirée

La politique d’immigration devrait être encadrée, en fonction de besoins sectoriels précis de la nation. Il serait raisonnable que le nombre total d’immigrés légaux, présent sur le territoire national, ne soit jamais supérieur à 3% de la population adulte totale, regroupement familial compris.Les étudiants, représentants diplomatiques et consulaires, ainsi que tous responsables de filiales commerciales étrangères, dûment mandatés, ne seraient pas compris dans ces chiffres. Les visas touristiques ne devraient être délivrés que sur présentation d’un justificatif de voyage, présenté auprès du consulat Français local. Idem pour les voyages d’affaires.

Tout immigré en situation illégale devrait être placé en rétention temporaire, sans droit de se déplacer, 1 mois au maximum, puis expulsé directement vers leur pays d’origine, après prise d’empreintes digitales, et sans qu’il soit nécessaire, pour les autorités Françaises, d’en faire la demande préalable au pays concerné. En cas de récidive, un emprisonnement pourrait être envisagé avant ré-expulsion.

Sur le principe: Si la France a le devoir d’aider les pays pauvres, dans la mesure de ses moyens, elle n’a pas à en accueillir leurs populations en déshérence !

Une politique d’assimilation nationale doit être mise en place. Assimilation et non « intégration » car cette dernière reconnaîtrait implicitement l’existence de « communautés multiples » (donc contraire à notre constitution). L’égalité des chances est une évidence, sans aucune « discrimination négative ou positive », vis a vis des populations ayant été accueillies légalement, et ayant choisi librement la culture et le mode de vie Français, ainsi que les devoirs qui s’y rattachent

Cette politique imposerait la connaissance préalable et minimale de la langue Française. Ceci serait un critère d’entrée non négociable, et concernant tous les membres adultes de sa famille, si ceux-ci bénéficient du regroupement familial. Un test linguistique, portant sur des phrases de la vie courante, serait imposé avant délivrance de tout visa.

Il est clair que la non maîtrise de la langue, non seulement ne favorise pas l’intégration sociale, mais favorise la formation de « ghettos » et/ou la formation de poches de criminalités.

Naturellement, les étrangers vivant en France seraient astreints aux mêmes devoirs que les citoyens Français, et bénéficieraient en retour des mêmes droits, excepté celui de voter.

Un titre de séjour ne pourrait en aucun cas être renouvelé durant une période d’indemnisation chômage.

Les étrangers devront abandonner, dans l’espace public, les coutumes, vestimentations, comportements et aspects ostentatoires propres à leurs cultures d’origine.

Sur le plan de la naturalisation, elle pourrait intervenir après 10 ans de présence dont au moins 8 travaillés, sans problèmes judiciaires, avec le parrainage d’au moins 10 nationaux, et après renoncement aux autres nationalités éventuelles.

La France n’est pas une terre d’accueil … mais une « terre d’asile » (au sens politique). Quant à l’accueil de civils issus de pays réellement en guerre, cela ne concernerait que les pays limitrophes, et non le tiers monde en général.

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