La France reviendra à sa monnaie nationale, et le « Franc » sera donc réémis. La loi de 1973 sera abrogée. La banque de France sera restaurée dans ses privilèges de « battre monnaie » et de « prêter à l’état, sous le contrôle strict, et avec l’accord du parlement, statuant à une majorité consolidée des 2/3 au moins. En outre :
- La banque de France ne sera plus composée d’intérêts privés, et obtiendra un statut d’établissement public national.
- La banque de France ouvrira des agences, sur tout le territoire national, en fusionnant avec la banque postale.
- La banque de France n’investira que dans des intérêts Français, que ceux-ci soient des actions de l’état lui-même, des entreprises à capitaux majoritairement Français, ou de simples particuliers de nationalité Française, dans le cadre d’acquisition foncières ou immobilières.
- Les intérêts réalisés sur ces prêts seront affectés aux frais de fonctionnement raisonnables, aisi qu’à l’acquisition de nouvelles réserves de contre-valeurs précieuses.
- L’or ou les matières précieuses, seront les seules « contre-valeur’ directe et adossée à cette monnaie.
- Une dette, d’où qu’elle puissent provenir, ne sera jamais considérée comme une contre-valeur valable, pour la Banque de France.
- Les organismes de crédit à la consommation, avec prêts de liquidités réellement possédées par le préteur, resteront du ressort du secteur financier privé, avec libre concurrence sur les taux.