Depuis le début du mouvement contre la réforme des retraites, les policiers multiplient les arrestations de manifestants accusés d’outrage au chef de l’État. Le délit d’offense au président de la République a pourtant été déclaré contraire à la Convention européenne des droits de l’homme en 2013. Or, comme nous ne cessons de le répéter ici, c’est cet homme qui outrage la fonction présidentielle (voir notre précédent article sur le sujet) Cet homme non seulement n’est pas un chef d’état, mais il devrait se visser dans la tête que pour être respecté, il faut d’abord être respectable. Mr Macron, arrêtez-moi pour ce que vous voudrez, mais vous êtes un déviant et un traitre à notre grande nation. Vous déshonorez notre peuple outre que vous ne cessez de l’insulter depuis l’étranger. Je ne vous salue pas et ne vous estime pas !