Il est assez stupéfiant de constater que lorsqu’un criminel est d’origine Maghrébine, sub-saharienne on le mentionne en tant que « jeune homme », sans citer son prénom. A l’inverse, lorsqu’il s’agit d’un criminel blanc Européen et Chrétien, on ne manque pas de préciser « pierre » ou « antoine ». Les médias, la justice et les politiciens, ont donc clairement fait le choix du grand remplacement en minimisant les actes de certains et en exagérant ceux d’autres.