La mondialisation est un changement naturel d’échelle, lié au moyens de transports et de communications modernes. Par contre, le mondialisme est une doctrine d’unification planétaire et totalitaire qui ne sera pas le paradis pour tous, mais plutôt l’enfer pour chacun. Ce système serait un fascisme global déguisé en progrès. Une sorte d’Urss mâtinée de Maoïsme, mais au niveau planétaire. Il gèrera par la peur, la désinformation, les pénuries planifiées, les compétitions déloyales, le travail « dirigé », les spoliations de masse, la fin de la propriété privée, la corruption, la calomnie, la guerre, et même par du « terrorisme organisé ». Tout cela se fera sous les prétextes « sanitaires » ou « écologistes ». Bien naïfs ceux qui penseraient le contraire.
Le covid-19 n’est ainsi que le catalyseur » ou le déclencheur de ce qu’ils appellent « le monde d’après », celui postérieur à ce fameux « grand reset ». Ce terme doit être compris non comme un « grand effacement de dettes », mais comme un changement à 180° de mode de civilisation. Nous quittons un monde de libertés individuelles, pour arriver dans un « monde-ruche » où les humains seront gérés comme un flux d’électrons dans un circuit électronique.
Il nous ramène aux âges féodaux les plus sombres de l’asservissement des peuples. La démocratie ou la liberté d’expression ne seront bientôt que de lointains souvenirs. La destruction méthodique des nations, des cultures, de l’histoire, de l’instruction, des familles, des mœurs, des valeurs morales séculaires; présenté comme des avancées progressistes et fraternelles, sont autant de moyens visant à l’émergence d’une population uniformisée, inculte, amnésique, jouisseuse, sans morale, et docile, au service d’une « petite classe mondiale ».
Le travail sera pour eux toujours trop cher, tant que l’on aura pas rétabli l’esclavage. La solidarité et la retraite seront des coûts à reporter sur les familles. Les médicaments seront le prix à payer pour survivre aux maladies chroniques qu’ils nous auront inoculé.
Les peuples seront responsable des dettes de leurs seigneurs. Comble du cynisme: ils voteront pour désigner leurs maîtres !
Quant à la morale, ces sociopathes planétaires doivent penser qu’il s’agit là d’une faiblesse typique des petites gens, du « troupeau des sans dents ». En effet, que rapporte la morale ?
Concernant l’I.A ou « intelligence artificielle », dont beaucoup travaillent à sa création en vue de « dépasser l’humain » dans tous ses aspects de productivité :
- Singer l’humain et créer une machine « à sa ressemblance » suppose aussi qu’elle soit quasiment dénuée de réelle capacité créative.
- Actuellement, ce qu’on appelle IA n’est rien d’autre que des algorithmes dit « prédictif », mais compilant en fait des données statistiques. C’est un système biaisé dans lequel le futur n’est pas « deviné » mais « imposé », telle une prophétie auto-réalisatrice
- Le fantasme des machines travaillant pour que les humains puissent « jouer aux boules » … oui … mais certainement pas pour les 99% qui seront soit réduits en esclavage, soit à l’état d’engrais pour le potager de ces psychopathes.
L’écologie de demain, pour sauver la planète », aura pour but réel de préserver les dernières ressources, au profit d’une hyperclasse mondiale limitée. En contrepartie, la quasi totalité du peuple sera contrainte de vivre avec une rente proportionnée à son travail et à sa docilité, (comme le « crédit social mis en oeuvre en Chine). Des habitants se voyant attribuer des « cases » de 5 m2 par personne pour tout espace privatif, et une chandelle pour s’éclairer … au motif de ne pas gaspiller les ressources énergétiques de la planète.
Déjà, on nous annonce des « pénuries » alimentaires dues à des « cyber-attaques », lesquelles seront le concept post-covid-19 … en attendant une fausse invasion extra-terrestre ultérieure !
Quant aux antennes 5G et leurs relais satellitaires orbitaux, coûtant des centaines de milliards, certains ont la stupidité de penser que ce sera pour accélérer le débit de l’internet … alors qu’ils ne seront que les « miradors » numériques de la plus grande prison sans barreaux: La terre !
Les points précédents permettront l’avènement final du transhumanisme .. grââl suprême de ceux qui se prennent pour des Dieux, lesquels espèrent l’Immortalité comme récompense à leur arrogance sans limite. Mais .. avons nous pensé un instant, ce que pourrait être l’immortalité en tant qu’esclaves, au fond d’une mine ? Croyez-vous un instant qu’une telle « élite » de malades mentaux serait suffisamment bienveillante pour partager tous ces « fruits » avec ceux qu’elle méprise et envisage d’asservir ?
Huxley et Orwell réunis sont tous deux dépassés par la réalité, que certains s’obstinent, par peur ou par confort, à ne pas voir.
Bref, deux destins se profilent pour l’humanité:
- Le mondialisme, ou uniformisation universelle des normes, des comportements, de « culture minimale » et réduite aux stricts besoins professionnels, L’abolition de la morale, de la mémoire, de l’instruction et du raisonnement individuel, pour former un peuple d’esclaves consentants, vendant sa liberté pour un peu de confort, lequel serait proportionnel à sa servitude ou sa capacité de délation et de collaboration avec le système !
- Ou bien, une mondialisation harmonieuse, qui, telle un beau jardin, cultivera la diversité des cultures, sans les travestir. Une mondialisation où chaque humain sera libre, au sens ou ses devoirs forgeront ses droits. Bref, une confédération de nations libres au sein d’un monde libre, où la morale séculaire et les sentiments nobles pourront s’épanouir, un monde où l’argent reprendra sa place d’unité de mesure des mérites, sans être une fin en soi.
Nous sommes à la croisée des chemins, sachant que la liberté doit se prendre et ne se donne pas !
Les livres de Pierre Hilard évoquent, par ailleurs, parfaitement ce sujet.