Pour le retour d'une France libre aux valeurs traditionnelles
Depuis une cinquantaine d’années, la France est noyée sous des flux migratoires constants, par des populations n’ayant nullement l’intention de s’intégrer. Outre le coût que cela représente, et la destruction progressive de notre propre culture, cela est corrélé avec l’effondrement de notre pays.
Cet homme, faisant semblant de tout prévoir, grâce à son génie, était plus probablement membre de cette cabale du « nouvel Ordre Mondial ». Cette arrogance dont il fait preuve est sidérante. N’oublions pas aussi qu’en 1999 il avait « prévu » une grande épidémie pour une vingtaine d’années plus tard ! Cet homme, avec sa clique de propagandistes et autres déstabilisateurs (BHL, Alain Minc, Einthoven et autres), sont des dangers mortels pour notre pays et sa culture ancestrale.
Souvenez-vous des propos de Sarkozy, en 2008. Il plaidait pour l’avènement d’un métissage obligatoire, et dicté par les « nécessités de notre époque ». Il soulignait que si ce métissage n’était pas consenti de gré … il faudrait alors l’imposer par des « méthodes plus contraignantes » ! Cet homme, ayant vendu la France à L’OTAN, détruit la Libye sans l’accord de l’ONU, et promu la « Discrimination positive » (L’anti-France en somme)… souhaitait finir son œuvre par la destruction de la civilisation Française et millénaire. Il oublie que le métissage des Français était réalisé entre Chrétiens ou avec des personnes s’assimilant à notre culture sans aucune revendications !
Le « nouvel ordre mondial » est un fantasme de milliardaires, imaginant une hégémonie mondiale de type de celle de 1984 d’Orwell. Ces gens se regroupent depuis longtemps sous diverses appellations: Club de Rome, Bilderberg, Cfr, Trilatérale, G7 … avec un même objectif: la mise en esclavage d’un milliard de personnes interchangeables et dociles, après s’être débarrassé de 6 milliards d’autres. Le forum de Davos est la partie aboutie de cette engeance totalitariste, avec un élément plus grave: la puissance du numérique.
Opposant les armées française et allemande, la bataille de Verdun eut lieu du 21 février au 19 décembre 1916. Conçue par le général Erich von Falkenhayn, commandant en chef de l’armée allemande, d’après la version qu’il en donne dans ses mémoires, comme une « bataille d’attrition » pour « saigner à blanc l’armée française » sous un déluge d’obus dans un rapport de pertes de un pour deux, elle se révéla en réalité presque aussi coûteuse pour l’attaquant : elle fit plus de 700 000 pertes (morts, disparus ou blessés), 362 000 soldats français et 337 000 soldats allemands, soit une moyenne de 70 000 victimes pour chacun des dix mois de la bataille… (suite…)