Pour le retour d'une France libre aux valeurs traditionnelles
Les partis politiques ne sont plus les réceptacles des opinion du peuple, ni même porteuses d’une quelconque idéologie. Ils sont devenus de véritables sectes mafieuses agissant pour elles-mêmes et leurs affidés. (suite…)
C’est un impératif incontournable pour toute société se prétendant évoluée. C’est aussi un investissement sur l’avenir pour la survie collective à long terme. La fabrication « d’imbéciles soumis » n’est profitable qu’à court terme pour ceux qui l’envisagent. (suite…)
Les traités internationaux doivent être rédigés dans le seul intérêt de la France, en excluant toute forme d’inféodation ou de subordination de notre pays à des puissances étrangères.
Les droits de chacun conditionnés par les devoirs envers tous. Les devoirs rejoignent le mérite en ce que chacun prenne bien conscience qu’il n’est rien sans les autres, mais que sa personne se doit aussi d’exister et de penser par elle-même. (suite…)
Fondement de toute société organisée et juste, à condition que cette entraide bénéficie à ceux qui en ont réellement besoin, et non à ceux qui s’en servent de manière parasitaire ou délictueuse. Les institutions, quelque soient leur niveau, doivent être bienveillantes mais fermes. (suite…)
L’équité n’est pas équivalent au concept d’« égalité ». L’équité est profondément synonyme de justice, mais sans aucun nivellement ni aucun formatage des individus. L’égalité des chances pour tous, au départ, pour un combat propre à chacun par la suite.
Le mérite individuel est le critère essentiel de reconnaissance de la société envers un individu. Le mérite est le fruits des efforts et de l’espérance de celui-ci. Chacun doit être payé et récompensé selon ce qu’il apporte à la collectivité. Ce qui n’exclue nullement le devoir d’assistance aux plus faible et la bienveillance de la société envers ceux qui apportent peu. (suite…)
L’autosuffisance, notamment énergétique et alimentaire, permet de s’affranchir du mondialisme, lequel détruit les états en les spécialisant à outrance. Ainsi, les états sont-ils tous « dépendants les uns des autres », sachant que le banquier international aura le « dernier mot », et donc le pouvoir sur tous.
Elle permet à chaque niveau de gérer librement ses problèmes, excepté ceux des fonctions régaliennes, et de ne faire appel à l’arbitrage du niveau supérieur que si nécessaire et désiré par les intéressés. L’état central ne veillant alors qu’à la cohésion de l’ensemble, et conserve les fonctions purement régaliennes communes.