Pour le retour d'une France libre aux valeurs traditionnelles
La nation se réfère à une constitution qui ne peut être modifiée que par référendum. On reviendra à celle de 1958 … laquelle sera amendée par référendum pour tenir compte des changements sociétaux et internationaux intervenus entre temps. Le texte présenté au peuple sera rédigé par une « assemblée constituante » ad hoc. (suite…)
La France est une nation composée d’un peuple uni en une communauté indivisible, Cette communauté partage une histoire, une langue, une culture, des croyances et des valeurs communes. Que celles-ci soient reçues en héritage, ou bien qu’elle soient adoptées volontairement par ceux qui désirent vivre et se joindre à celle-ci. (suite…)
C’est notre écosystème nourricier, seule capable d’assurer à notre espèce, une survie à long terme. Ainsi, la production de déchets inutiles ou non traités, comme ceux issus du cynisme libéral en quête insatiable de profits, que tous ces agissements soient considérés comme un crime contre l’humanité.
C’est un héritage précieux et un combat noble. Littéralement, la patrie est la « terre des pères ». Elle est caractérisée par un ensemble indissociable : son histoire, sa culture, ses traditions, ses lois, une communauté de valeurs, une langue, et un mode de vie qui lui sont propre. (suite…)
Tout système, devenant sans cesse plus complexe et plus riche, permet l’apparition de groupes d’intérêts, de cooptations, copinages et autres « renvoi d’ascenseurs ». De ce fait, à chaque accession au pouvoir d’un de ces groupes, ou d’une personnalité importante, suit toute une série de nominations . . . (suite…)
D’une forme non académique, mais fruit de cinquante ans d’expériences combinant lectures et engagements, cet essai retrace le parcours de la domination oligarchique engagé depuis plus de deux siècles en Occident : instrumentalisation de la pensée Helléno-Chrétienne. (suite…)
« Pouvez-vous développer le concept de Grand Remplacement ? — Oh, c’est très simple : il y a un peuple et presque d’un seul coup, en une génération, il y a à sa place un ou plusieurs autres peuples. C’est la mise en application dans la réalité de ce qui, chez Brecht, . . . (suite…)
Dans la nuit, au midi de notre pays, cent navires se sont échoués, chargés d’un million d’immigrants. Ils viennent chercher l’espérance. Ils inspirent la pitié. Ils sont faibles… Ils ont la puissance du nombre. Ils sont l’Autre, c’est-à-dire l’avant-garde de la multitude. (suite…)