Pédophilie: pas que les Cathos. . .

Les médias mainstream relaient très volontiers les cas de pédophilie chez les prêtres Catholiques, donnant ainsi l’impression que cette déviance n’existe que chez Eux. Nous proposons ci-après quelques faits, sourcés via des médias sérieux, qui démontrent que tel n’est pas le cas, mais que ces pratiques sont parfois mieux cachées dans certains milieux. Quelques affaires judiciaires, concernant les confessions Juive et Musulmane.

Nechemya Weberman (Brooklyn)

Un conseiller spirituel qui officiait dans une communauté juive ultra-orthodoxe de New York a été condamné mardi (Janvier 2013), à 103 années de prison pour viols et agressions sexuelles sur une jeune fille de 12 ans, a annoncé le bureau du procureur de Brooklyn. Nechemya Weberman, 54 ans, avait été reconnu coupable en décembre dernier de 59 (BIEN 59) chefs d’accusation de crimes et d’agressions sexuelles contre une patiente de 12 ans venue le consulter entre 2007 et 2010.

Rachel Krausz, la mère de la victime, avait envoyé sa fille en consultation chez ce «thérapeute sans licence», selon le ministère public, pour des problèmes de comportements à l’école.

Le conseiller a été reconnu coupable d’avoir abusé d’elle «à de nombreuses reprises» dès le début des consultations.

«S’il y a une leçon à retenir de cette histoire, c’est que ce bureau continuera à combattre le mal que représentent les agressions sexuelles contre des enfants, quel que soit l’endroit où elles ont lieu», a assuré le procureur Charles Hynes dans un communiqué. Lors du procès, de nombreux détails ont été révélés sur la communauté de juifs hassidiques, dont étaient issus la victime et le coupable, qui vit à Brooklyn totalement coupée du monde.

La mère de la victime a notamment confié qu’elle n’aurait jamais pu imaginer un tel comportement de la part d’un conseiller spirituel au vu des règles très strictes en vigueur dans cette communauté de juifs originaires de l’Europe de l’Est.

Mme Krausz a expliqué que sa fille avait rencontré des problèmes avec l’encadrement de son école car elle ne supportait pas de porter des bas épais pour lui cacher les jambes et qu’elle avait ouvert le premier bouton de sa chemise.

En juin 2012, quatre hommes de la même communauté juive ultra-orthodoxe avaient été inculpés pour avoir tenté d’étouffer cette affaire. L’un d’eux est accusé d’avoir proposé 500 000 dollars à la victime présumée et à son petit ami contre leur silence. Quelque 250 000 juifs ultra-orthodoxes vivent à New York, la plupart à Brooklyn, la plus large communauté de ce type en dehors d’Israël.

Source: la presse (Ca)


« M » : Un documentaire choc sur la pédophilie dans le milieu juif ultra-orthodoxe, réalisé par un cinéaste Juif.

« Grâce à Dieu », de François Ozon, sur le scandale pédophile dans le diocèse de Lyon vient de sortir, ainsi que « Les Chatouilles », sur la même perversion dans un milieu familial.

Dans les salles depuis le 20 mars, « M » enquête sur un sujet semblable, dans le quartier ultra-orthodoxe de Bnei Brak, ville de la banlieue de Tel-Aviv : un terrible témoignage, doublé d’une rédemption.

Libérer la parole

Documentariste (« Paradise Now ») autant que réalisatrice de fictions (« Moi Ivan, toi Abraham »), Yolande Zauberman a suivi pendant deux ans Menahem (M) dans sa ville natale de Bnei Brak, en Israël, à la recherche des prédateurs qui ont abusé de lui de 4 à 12 ans. Cette quête les a amenés à rencontrer nombre d’autres victimes, toutes de confession juive hassidique ultra-orthodoxe, comme la quasi-totalité des habitants de cette ville de la banlieue de la capitale d’Israël.

Yolande Zauberman a choisi de filmer son documentaire uniquement de nuit. Car la nuit ouvre à une vie autre, l’on y fait des rencontres spécifiques, et la parole s’y libère parfois plus que le jour. Déambulant en voiture de rue en rue, filmant des fêtes nocturnes rassemblant des membres de la communauté hassidique, Yolande Zauberman ne s’attendait pas à avoir une telle liberté de filmer dans ce milieu a priori très fermé. Comme dans cet étrange cimetière, lieu de rendez-vous, où elle recueille avec M la confession spontanée d’une victime qui devint elle-même prédatrice, une fois devenue adulte. La documentariste compile de la sorte nombre d’autres témoignages, tous semblables, comme si ces faits, réprimés par la loi comme partout dans le monde, étaient tacitement intégrés aux mœurs.

Cercle vicieux

Il ressort de cette parole presque dénuée de culpabilité l’impression d’une fatalité qui formerait un cercle vicieux. Le passage de victime à tortionnaire semble inéluctable. Mon bourreau n’a pas été inquiété par la loi, je peux donc le devenir moi-même, semblent-ils tous signifier. Le sujet reste tabou, mais est connu de tous.

Autre témoignage troublant dans le film, sur la sexualité mais en dehors de la pédophilie, celui de ce juif de 19 ans, marié dans deux jours, et qui ne conçoit pas d’homosexualité féminine, puisqu’ »une femme n’a pas de sexe »…

Hallucinant dans ces déclarations, filmées avec une liberté étonnante, « M » retrace surtout le cheminement de Menahem vers sa rédemption. Par son témoignage, la recherche de ses bourreaux et surtout celle de son père, qui l’a banni de la maison familiale quand il a appris que son fils avait été violé, M va se libérer du traumatisme et des fantômes qui le hantent. Dans ce voyage au bout de la nuit, il va trouver la lumière de sa libération, ne lâchant pratiquement jamais son large sourire, comme confiant de l’aboutissement inéluctable de sa quête. Troublant dans l’investigation d’un univers totalement déconnecté du monde contemporain, à travers le récit d’un homme, « M » est comme l’exploration d’une autre planète.

Source Jacky Bornet (Franceinfo)


Un administrateur d’une prestigieuse école juive moderne orthodoxe de New York a été arrêté pour production de pornographie pédophile. – NEW YORK (JTA)

Dans un courriel envoyé lundi à la communauté scolaire, le directeur de la Salanter Akiba Riverdale Academy dans le Bronx, connue sous le nom de SAR Academy, a informé les parents que le rabbin Jonathan Skolnick, le directeur adjoint des études juives du collège, a été arrêté tard vendredi soir. Le courriel indiquait que l’école avait des raisons de croire que des élèves de l’établissement pourraient avoir été victimes de Skolnick.

« Je sais qu’il s’agit d’un message extrêmement difficile à lire et à traiter à de nombreux niveaux », a écrit le directeur, le rabbin Benjamin Krauss. « Il est choquant de savoir que quelqu’un en qui nous avions confiance avec nos enfants a été accusé de leur avoir fait du mal. Malgré les pratiques en place pour protéger nos enfants, nous ne sommes pas à l’abri de manquements tels que celui qui semble s’être produit à SAR. »

SAR a licencié Skolnick, qui était à l’école depuis 14 mois. L’école coopère pleinement avec le FBI. Au-delà de l’allégation de « production de pornographie » et de la mention de « photos inappropriées », le courriel ne contenait pas plus de détails.

“Rabbi” Jonathan Skolnick, hired in 2018 as head of Judaic Studies 6-8 grade at SAR Academy, arrested by FBI for “coercion & enticement, receipt & distribution of CP, sexual exploitation of children, & conducting such practices across state lines.”https://t.co/dafRm7pFpa pic.twitter.com/Wsf74msTLf  — Dannielle Blumenthal PhD (@DrDannielle) September 17, 2019

De 2012 à 2018, Skolnick a travaillé à la Yeshivah of Flatbush, une école orthodoxe de Brooklyn. Raymond Harari, le directeur de l’école, et Jeffrey Rothman, le directeur général de l’école, ont écrit dans un courriel à la communauté scolaire lundi qu’ils n’ont « pas connaissance d’un comportement inapproprié » de la part de Skolnick pendant son séjour à l’école. Ils ont demandé que toute personne ayant des révélations d’inconduite communique avec l’école et le FBI.

L’an dernier, SAR a commandé un rapport sur l’emploi d’un enseignant qui a abusé d’au moins une douzaine d’élèves à l’école. Stanley Rosenfeld, aujourd’hui âgé de 84 ans, qui a admis avoir abusé des centaines de garçons tout au long de sa vie, a travaillé comme directeur adjoint à SAR dans les années 1970 et y a également enseigné l’anglais une décennie plus tard. L’école a commandé l’enquête en janvier, peu après avoir pris connaissance des allégations contre Rosenfeld.

« Nous nous efforçons de créer un environnement d’apprentissage dans lequel les élèves se sentent à l’aise de faire part de leurs préoccupations ou de tout autre comportement répréhensible », a écrit Krauss à la Jewish Telegraphic Agency, l’année dernière, après la publication de son rapport. « Rien n’est plus important que la sécurité de nos élèves. Si nous apprenions l’existence d’un signalement d’abus, nous travaillerions rapidement pour commencer une enquête en nous assurant, tout au long du processus, que les élèves sont en sécurité. »

Krauss a écrit dans son courriel de lundi que l’administration de l’école discutera de l’arrestation avec les élèves du collège mardi, ainsi qu’avec les élèves qui sont maintenant en Troisième et qui étaient sous l’autorité de Skolnick l’année dernière.

L’école a également encouragé les parents à discuter de la situation avec leurs enfants, et les administrateurs se rendent disponibles pour parler aux parents mardi et dans les jours à venir.

SAR a instauré une politique sur le harcèlement sexuel en 2014. La politique exige que les allégations crédibles d’inconduite sexuelle soient signalées aux organismes d’application de la loi, ainsi que des lignes directrices sur la façon de signaler les allégations à l’école et d’enquêter sur celles-ci.

Source  Ben Sales de Times of israel


Marrakech : 5 ans de prison pour un muezzin et imam pédophile
Publié par Abderrafii ALOUMLIKI
Date :février 18, 2019

Cinq ans de réclusion criminelle, tel a été le verdict rendu, mardi dernier, vers le soir, par la chambre criminelle près la Cour d’appel de Marrakech contre Larbi, muezzin et imam de la mosquée du douar Bouhalouane relevant de la région de Setti Fadma, de la province d’Al Haouz, qui a abusé de plus de sept filles mineures.

L’affaire a éclaté quand une adolescente demeurant à Aghbalou relevant de la vallée d’Ourika a disparu dans la nature dès qu’elle a été demandée en mariage. Une plainte a été portée par son père auprès des gendarmes où il réclamait la recherche de sa fille. Celle-ci a été repérée à la gare routière Ouled Ziane, à Casablanca.

N’étant plus vierge, elle ne pouvait pas répondre favorablement à la demande de mariage, a-t-elle expliqué aux enquêteurs. C’est le muezzin et imam du douar qui l’a violée et déflorée, il y a plus de dix ans. L’enquête a révélé que cet imam qui apprenait le Coran aux enfants avait abusé sexuellement de plusieurs autres fillettes. L’enquête a permis d’en identifier six.

Source Aujourdhui.ma


Espagne : 15 ans de prison pour deux imams pédophiles
1er août 2019 – 18h00 – Monde – Par: K.B

Le Procureur général près du Tribunal de Barcelone a condamné deux imams de mosquée, dans la ville de Barcelone, à une peine de 15 ans de prison, assortie d’une amende de 60.000 euros.

Poursuivis pour agressions sexuelles à l’encontre de deux mineurs, les deux individus, originaires, respectivement, du Maroc et du Pakistan, seront expulsés du territoire espagnol, après avoir purgé les deux tiers de leur peine.

Exerçant dans des centres différents, ils ont été arrêtés en flagrant délit, selon le journal espagnol, La Vangardia. Ils profitaient de moments d’isolement, et obligeaient les deux enfants, âgés de 9 et 12 ans respectivement, à subir leurs harcèlements sexuels, sous l’effet de la menace.

Agé de 46 ans, l’imam marocain, qui avait rejoint le centre religieux en Espagne, en 2012, avait l’habitude de dispenser des cours coraniques aux enfants de la ville. Selon le journal, il est poursuivi en liberté provisoire après avoir payé une caution en attendant le procès en appel prévu pour le mois de septembre.

Source bladi.net


Algérie : scandale de pédophilie dans les écoles coraniques. Que dit le ministre ?
Posted on : 08/08/2013 By Siwel
Archives Divers

ALGER (SIWEL) —Le sort des enfants, victimes de la prédation sexuelle de certains imams algériens, est dénoncé par un site religieux du nom évocateur de «Oumma.com» qui a levé le «voile» sur les pratiques abominables de certains «saints hommes». La nouvelle pourrait être révolutionnaire (?) dans un contexte aussi islamiste que l’Algérie. C’est la première fois que l’on voit une telle dénonciation. La pédophilie «sous couvert religieux» est donc enfin condamnée, du moins par Oumma.com ; car, contrairement aux non-jeûneurs de Tizi-Ouzou et d’Aokas sur lesquels se sont abattus toutes sortes d’injures et de menaces, le ministre algérien des affaires religieuses n’a pas soufflé mot de cette sordide affaire ni, encore moins, condamné l’abominable perversion sexuelle de ces imams pourtant accrédités par son institution.

Ainsi, les voiles (si j’ose dire) se lèvent sur les perversions sexuelles de ces «saints hommes» dans certaines écoles coraniques d’Algérie. Des voix commencent à s’élever pour dénoncer ces imams qui «Derrière les murs protégés (…) des sanctuaires de la foi (…) abusent de leur pouvoir pour assouvir des pulsions criminelles». C’est du moins ce qu’affirme Oumma.com qui dénonce un de ces imams «enseignant coranique (…) dans une mosquée de Sidi Bel-Abbès» qui «enfermait dans la classe sa victime pour se livrer à un viol caractérisé». Le même site annonce que l’imam vient d’être condamné à 10 ans de prison ferme pour abus sexuel sur un garçonnet de 6 ans».

Il faut saluer cette honorable dénonciation et se réjouir que des organisations religieuses musulmanes dénoncent les crimes pédophiles qui sévissent dans les chapelles du monde musulman comme dans celle du monde chrétien comme le démontre «les scandales en chaîne qui ont ébranlé l’Eglise catholique». Il faut donc rendre grâce à Oumma.com d’avoir dénoncé cette «atteinte innommable à l’intégrité de l’enfance» et ce, dans des «écoles coraniques en Algérie», «éclaboussées» comme certaines églises catholiques, «par des affaires de mœurs sordides». Le site dénonce avec vigueur «plusieurs cas d’agressions sexuelles sur mineurs» commis par des imams en Algérie.

Cependant, et afin de dénoncer justement, et de manière équitable, ces abominations sexuelles commises sur des enfants, ici en l’occurrence sur un garçonnet de 6 ans, il aurait été respectable de dénoncer également les «atteinte innommable à l’intégrité de l’enfance» commises sur des millions de fillettes «mariées», dès leur plus tendre enfance, à des hommes (parfois des vieillards), qui usent et abusent de leurs frêles corps pour justement assouvir les mêmes «pulsions criminelles».

La pédophilie est un viol commis par un adulte sur un enfant, qu’il soit fille ou garçon. Or, ces fillettes sur lesquelles se pratiquent, en toute légalité, et au nom de la religion, les même atteintes à leur intégrité physique et morale ne font jamais l’objet de dénonciations, hormis quelques associations de Droit de l’homme ou quelques institutions internationales, vite ramenées à l’ordre par les prêches incendiaires des «savants» musulmans tel que le « vénérable Cheikh » al Qardaoui qui, pas plus loin qu’en mars 2013, «protestait» violemment contre les résolutions de l’ONU visant à promouvoir «l’égalité des sexes» et à interdire «les mariages d’enfants, le viol conjugal et les violences commises contre les femmes». Ce « vénérable Cheikh » est allé jusqu’à appeler les peuples musulmans à «se soulever pour combattre» ces résolutions qu’il qualifiait de « violente offensive contre l’islam et les peuples arabes»

Dans de nombreuses sociétés d’Afrique subsaharienne et d’Asie, la presse aborde de plus en plus souvent la question du mariage des mineures, c’est à dire des fillettes; le fameux zawâj al-qâsirât (le mariage des petites) qui a largement cours dans les sociétés traditionnelles tel que le Pakistan, l’Afghanistan, l’Afrique et même parfois l’Afrique du Nord. Cependant, les deux pays qui détiennent le monstrueux record en matière de « mariages de mineurs » restent l’Arabie Saoudite et le Yémen, des pays où la la « Charia », qui fait loi, ne prévoit pas d’âge limite au mariage des fillettes.

Pourtant, de plus en plus de musulmans, ceux qui voient dans l’Islam une spiritualité et non un moyen de domination ou d’asservissement, commencent à s’émouvoir de la mort prématurée de ses fillettes qui s’éteignent sur leurs lits de couche en mettant au monde leur premier enfant à 12 ans, ou encore celles qui, après avoir subi d’horribles viols, s’éteignent à 8 ans sur leur lit de noce parce que physiquement incapables de supporter le poids des assauts de leur «honorables maris», de 30,40, 50,60, voire de 70 ans leurs aînés ; car, hélas, il s’est bien trouvé, en Arabie Saoudite, des vieillards de 80 ans pour « épouser » des fillettes de 8 ans.

Toutes ces horribles abominations sont des «viols caractérisés» d’enfants , des «atteinte à l’intégrité de l’enfance», que les musulmans, qui vivent sincèrement leur foi dans le respect de la vie et de l’innocence si fragile de l’enfance, se doivent non seulement de dénoncer mais également de combattre de toute leur force pour ne pas êtres «confondus» avec ceux qui érigent leurs ignobles perversions en volonté divine.

maa,
SIWEL 082019 AOUT 13

source siwel.info

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