Étiquette : De Gaulle
De Gaulle sur Israël (1967)
« L’établissement, entre les deux guerres mondiales, car il faut remonter jusque-là, l’établissement d’un foyer sioniste en Palestine et puis, après la Deuxième guerre mondiale, l’établissement d’un Etat d’Israël, soulevait, à l’époque, un certain nombre d’appréhensions. On pouvait se demander, en effet, et on se demandait même chez beaucoup de Juifs, si l’implantation de cette communauté sur des terres qui avaient été acquises dans des conditions plus ou moins justifiables et au milieu des peuples arabes qui lui étaient foncièrement hostiles, n’allait pas entraîner d’incessants, d’interminables, frictions et conflits. (suite…)
Pierre de Gaulle: Le digne petit-fils
Pierre de Gaulle, dans son discours, nous montre que le Général souhaitait une France indépendante. Malgré tout, sur un plan géopolitique et civilisationnel, le Général a toujours dit qu’il fallait se rapprocher de la Russie. Mais il est clair, hier comme aujourd’hui, que les plus grands ennemis de ce rapprochement, sont ceux qui en auraient le plus à perdre: Les Anglo-Saxons !
Charles de Gaulle: Histoire d’un géant
Des hommes, comme le Général de Gaulle, il n’y en a qu’un par siècle. Ce film retrace son exceptionnel destin et son dévouement sans faille à la patrie qui l’a vu naître: La France. Il plaçait la France parfois bien plus haut que le peuple lui-même ne l’imaginait.Il réussit à manœuvrer des personnalités fortes telles que Churchill, ou Roosevelt, qui lui étaient souvent hostiles. Il lutta avec une poignée d’hommes de valeur et conquis sa place parmi les vainqueurs de la seconde guerre mondiale. Il sauva ainsi la France une première fois, puis en 1958: une seconde fois, et enfiin en 1968: une troisième fois. Mais, peine perdue, le vers était déjà depuis très longtemps dans le fruit, et, comme le disait justement Jules ROY: « Ce grand homme n’aura mérité que la seule chose digne de lui: l’ingratitude » !
De Gaulle, De Lattre, et de Hautecloque (Leclerc)
De Lattre représentait la France lors de la capitulation de l’Allemagne, mais Leclerc a pris le « nid d’aigle » de Hitler à Berchtesgaden. Leclerc représenta aussi la France lors de la capitulation du Japon. Tout opposait ces deux chefs de guerre : de Lattre et Leclerc. Une conception différente du commandement et de la stratégie militaire, mais aussi de la politique, et pour aggraver encore les tensions, une opposition absolue de caractères, de la conception des rapports humains et de la vie en général . . . . (suite…)
Charles De Gaulle définit simplement le Gaullisme
Le Gaullisme, succinctement, revient à protéger le bien commun et de s’orienter politiquement dans le cadre de l’intérêt général. Préserver les différences, certes, mais sans qu’aucune d’elles n’aie prééminence sur l’essentiel. Il serait vivant aujourd’hui, il serait farouchement opposé au diktat des minorités, au Christianisme qui a forgé la France, à la corruption qui a miné tous les étages de toutes nos institutions, et aux partis mafieux qui gouvernent notre France éternelle.
Ce que pensait Charles De Gaulle du capitalisme
Charles de Gaulle, nous le savons tous, était ennemi des partis, qu’il considérait comme des « syndicats d’intérêts », ne faisant que très peu de cas de l’intérêt général. Ce que beaucoup ne comprennent pas, c’est que CDG souhaitait un capitalisme social, c’est à dire, sa fameuse « 3ème voie » de la réconciliation et de la synergie du travail et du capital, l’un ne pouvant exister sans l’autre. En outre, il était favorable à un « capitalisme planifié », orchestré par un « état stratège »