finance – Bleuet de Malte

Graves troubles possibles à venir

Des pouvoirs légaux et non légitimes sont en train de détruire la France ! Charles Gave nous dit « qu’il vaut mieux une fin dans l’horreur, qu’une horreur sans fin ». Un groupe mondialiste et technocratique, sont en train de mettre en œuvre la destruction méthodique des nations, et donc de leurs identités propres ! Ces gens, du genre de ceux qui se réunissent à Davos, se regroupent tels une secte, unis par leurs délires psychopathiques, dans l’objectif que leurs supériorité les conduira à gouverner le monde ! Mais les peuples ne sont peut-être pas aussi disposés à mourir ou vivre comme des esclaves !

1971: La finance se sépare de l’économie réelle

Que s’est-il passé en 1971 ? Voilà une question qu’on ne se pose pas souvent, moi la première. En 1971, c’est notre troisième fusée sur la Lune et Coco Chanel nous quitte. En 1971, c’est la fin des accords de Bretton Woods, et le Bangladesh prend son indépendance. En 1971, les Poppys chantent à tue-tête que, non, non, rien n’a changé. Ils avaient raison. C’est après 1971 que tout a changé, et quand je dis tout, croyez-moi je n’exagère pas. C’est l’incroyable découverte de deux américains, deux allumés de datas et d’économie qui se sont un jour mis à collectionner des graphiques, et le résultat de leur démarche est étonnant, tellement étonnant qu’il fallait qu’on vous en parle ici. Personne ne semble s’en être rendu compte, mais 1971 est une année particulière dans l’histoire économique, une sorte de singularité à partir de laquelle les données changent de rythme et les courbes de direction. Toutes, depuis la croissance économique aux inégalités, jusqu’au nombre d‘avocats dans le monde, ou de gens en situation de surpoids.

Pompidou ou la trahison de la loi du 3 Janvier 1973

Rares sont les personnes qui savent que la dette de la France a commencé dès 1973. La loi Pompidou-Rotshild du 2 Janvier 1973 abrogeait la possibilité pour l’état d’emprunter auprès de son propre peuple, et contraignait ainsi l’état à emprunter sur les « marchés financiers internationaux ». Donc, la dette publique était remise entre les mains de banques privées. Les conséquences sont aujourd’hui catastrophiques: 3.000 milliards de dettes indues si cette loi n’avait pas existé.

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