L’union Européenne est la maquette de ce nouvel ordre mondial, et du « grand reset », apparemment si attendu par les hautes sphères mondiales. Ces régimes « néo-libéraux » sont en réalité une adaptation à l’occident, du régime chinois: aucune élections, pas de démocratie, … cyber-surveillance globale, et « crédit social ». (ou « crédit carbone », ce qui revient sensiblement au même, puisque droit de pollution = confort technologique)
Tout a commencé par le blanchiment de l’argent sale. Devenu propre, il a été investi dans des banques et des multinationales. Progressivement, le pouvoir de la finance et des multinationales a dépassé ceux des états eux-même. Pour accompagner cette mutation, ces groupes de l’ombre ont inscrit leurs enfants dans de grandes universités, ont corrompu massivement des politiciens et des fonctionnaires d’entités internationales, et ont ainsi commencé à « dicter leurs lois » au sens propre.
Aujourd’hui, les plus grandes banques de la planète, telle que Goldman-Sachs, sont devenues des « faiseurs de rois », imposant leurs diktats aux peuples, après avoir installé leurs hommes de confiance, élus par personne, à des postes de chef de gouvernement ou de direction de banques centrales.
En parallèle, ces groupes d’intérêts voyaient leur cupidité accéllérer. Ils avaient besoin d’une énorme zone d’esclaves où délocaliser leurs industries et maximiser leurs profits, quitte à détruire leur propre nation. Ce pays fut la chine et joua tranquillement ce rôle, avec patience, attendant son heure et le moment où ils auraient les moyens et le savoir de se passer de l’occident .. ou tout au moins de se rebeller et renverser la pression.
Aujourd’hui, le sort du monde est désormais scellé, mais la question qui este est la suivante: Une planète « confédérée » autour du même projet, ou une planète « fédérée » avec une oligarchie gouvernante mixte. Il existe aussi une troisième voie: Deux systèmes totalitaires similaires mais géopolitiquement opposés: L’occident et l’Orient.
Toujours est-il que ces forces de l’ombre rêvent d’une terre unifiée selon leur propre vision, et axent leurs efforts sur ces axes:
- Pas de « frontières financières »
- Salaire le plus bas possible
- Droits sociaux les plus faibles possibles
- Démantèlement de l’état après l’avoir dûment dépecé, secteur par secteur (on appellera cela « privatisation »
- Abêtissement majeur des citoyens (suppression de l’instruction, promotion des plaisirs,bannissement des patriotismes et autres solidarités humaines)
- Gouvernance par la « peur », la « pénurie », et le « jugement social ».
- Juges complices de gré ou de force
- Destruction de la morale commune et des droits naturels
- Une petite superclasse élue pour gouverner une planète d’esclaves
- Une monnaie numérique et donc tout aussi arbitraire qu’infinie
Ayant échoué à créer de l’intelligence artificielle, ils se concentre sur l’autre moyen de dominer: rabaisser l’humain au rang de simple « animal parlant ». Ces « tyrannies numériques » futures n’auront plus besoin de la violence pour se maintenir au pouvoir. Elles créeront une « prison numérique planétaire » dont les « barreaux » seront :
- satellites, antennes 5G et fibres optiques pour relayer et transporter les données.
- De puces RFID sur les objets et les humains pour localiser, émettre, et recevoir des données,
- et enfin d’unités de traitements (datacenters), réparties mondialement pour le traitement des données en temps réel.
La création du réseau internet, il y a 30 ans, n’a jamais eu pour but la culture ou le loisir du plus grand nombre, mais la transmission des données financières, et maintenant, celles du comportement individuel.
Dans un tel monde, de nature Orwellienne, les citoyens rétifs, ou rebelles, se verront subir la « mort sociale » ou « l’extrême rusticité », par la privation contrôlée du confort technique. Bref: La soumission active permettra de voyager en avion, la soumission passive pour rouler en voiture, sinon, et selon la gravité de l’insoumission, la mobylette pour se déplacer dans la ville, puis le vélo, le bus, la marche à pied, et enfin le camp de travail pour les cas les plus « graves ».
Ce genre de régime s’appuiera naturellement sur une justice « politique » avec mise en scène de faux-procès et « autocritiques » (pour échapper au pire). Les « délits d’opinions » seront alors déguisés en « racisme », « déviances », ou autres « trouble à l’ordre public ». Peut-être même verrons-nous émerger un « délit d’intention ». Ces gens pourront aussi mener contre vous une campagne diffamatoire pour un effet de « peur » plus large encore ! En fait, nous croyions le stalinisme et la maoïsme derrière nous, mais en réalité il revient dans sa version numérique. Le totalitarisme numérique et planétaire.
Le but ultime n’est rien d’autre que la mise en servage global de l’humanité, contrainte de vivre dans des « enclos de production », et d’une nature exclusivement réservée à la production agricole, les zones totalement sauvages, et les grands domaines appartenant aux membres de cette « super-classe » mondiale.
Progressivement, et au fur et à mesure que la technologie s’avèrera fiable dans le mimétisme fonctionnel de l’homme, les néo-seigneurs décideront probablement de préserver les ressources terrestres, à leur profit et à celui de leurs descendants, et l’humain-esclave sera progressivement éliminé.
Il est quasi certain que:
- la liberté, l’égalité et la fraternité mondiale seront basés sur celles de l’esclave,
- que la jouissance sociale et technologique sera fonction de la docilité politique ou aux « élus »
- que l’écologie n’aura d’autre buts que de permettre la réduction drastique et sélective du niveau de confort social, comme de préserver les ressources terrestres au seul profit d’un petit nombre,